En 1787, le rayonnement de la Franc‐maçonnerie bourbonnaise est tel qu’il se fonde « à l’Orient de Saint‐Pourçain en Auvergne » une loge placée sous le signe distinctif « Les Coeurs Unis» ; ses constitutions lui sont accordées le 22 mars, et le 5 juin, l’atelier nouveau est installé solennellement par les maçons de la Loge « L’Espérance » de Moulins, avec l’aval de la Loge « Saint-Maurice » de Clermont-Ferrand.
Son premier Vénérable est le notaire royal Andriveau.
Comme les autres loges de la région, « Les Coeurs Unis » se mettront en sommeil et cesseront toute correspondance avec le Grand Orient durant toute la période révolutionnaire au cours de laquelle son président ne semble pas s'être manifesté.
La Loge "Les Coeurs Unis"
Orient de Saint-Pourçain sur Sioule