Une Loge provisoire de neuf membres est constituée au Monastier, sous la direction d’un Bénédictin, Charles Duroure, membre de « la Parfaite Union » du Puy-en-Velay. Par l’intermédiaire de son Député auprès du Grand Orient de France, Jean-Etienne Théaulon, et appuyée par la Loge « la Parfaite Union », elle demande des Constitutions, qui lui sont octroyées le 17 août 1875. La Loge « l’Etroite Union » est installée, le 8 octobre de la même année, par «la Parfaite Union» du Puy-en-Velay, conduite par André Blanc, Vénérable en exercice, assisté d’André Chevalier, Orateur, et d’Antoine Sollier, ancien Vénérable.
En 1776 elle est riche de 16 membres dont un Frère Servant, mais son activité se restreint et son existence devient éphémère, puisqu’au 18 juin 1779 le Frère Théaulon écrit au Grand Orient de France que la Loge est dispersée et que ses Travaux ne reprendront pas. De fait, à partir de cette même année, la Loge « l’Etroite Union » ne se manifeste plus.
Cependant 30 ans plus tard dans une lettre du 24 juilet 1808, quelques Frères rescapés écrivent au Grand Orient de France pour annoncer sa régénération et réclamer la reprise des Travaux. Mais cette demande est rejetée et personne n’entendra plus parler de « l’Etroite Union ».
Obligation des Frères de "L'Etroite Union"