Dans une lettre du 11 avril 1802 la Loge « la Parfaite Union » manifeste sa volonté de travailler à nouveau et les travaux reprennent force et vigueur.
Au cours de la tenue du 11 septembre 1802 un Frère demande que le Grand Orient de France adresse à la Loge des lettres capitulaires. Cette proposition mise aux voix est adoptée à l’unanimité. Et un Chapitre provisoire est constitué avec les huit membres de la Loge possédant le grade de chevalier rose-croix. Cette demande est acceptée par le Grand Orient de France.
Le 20 décembre 1802 les Frères sont convoqués, sous peine d’une amende de 6 livres, à une réunion du 22 décembre dans laquelle on devait installer le Chapitre, nommer les officiers et régler diverses affaires qui nécessitaient leurs présence.
En 1804, le Vénérable est Roussel Monpatié, capitaine pensionné. En 1805 le Vénérable est Mandet et sur l’annuaire du Grand Orient de France de 1806 « la Parfaite Union » est désignée Loge Chapitrale, Vénérable, Mandet, jurisconsulte.
En 1808, le Vénérable est à nouveau Roussel-Monpatié, puis Dagot, officier de gendarmerie, qui restera Vénérable jusqu’en 1813. Ce dernier est également Très Sage du Chapitre. Sous son venéralat, de nombreux fonctionnaires sont initiés.
Rayée des états du Grand Orient de France en 1811, sans doute pour défaut de paiement, « la Parfaite Union » disparaît définitivement en 1814.
La Loge "La Parfaite Union"
Orient du Puy-en-Velay